mercredi 20 octobre 2010

Jour 2 : Arusha - Longido, rencontres en terre Masai

Nous étions 23 dans le groupe et nous étions répartis en quatre véhicules 4 x 4. Nous gardions les mêmes équipes pendant tout le séjour :



La composition des véhicules était comme suit :
Victor

4 x 4 "Twiga" (giraffe en Swahili) : piloté par Victor
  Grazyna et Patrick
  Marie-Hélène et Christian
  Susan
  Williams

4 x 4 "Simba" (lion en Swahili ) : piloté par Khalid
  Dominique et Henri
  Brigitte et Hervé (alias Little Big Man)
  Antoinette et Michel

4 x 4 "Nyati" (Buffle) : piloté par Onesmo
Samwel
  Nicole et Philippe
  Brigitte et Francis
  Valérie
  Allégrine

4 x 4 "Tembo" (Eléphant) : piloté par Samwel
  Marga et Denis (alias Oliboni ou le Shaman)
  Jacqueline et Claude
  Edith

Et nous voilà partis pour Longido.



En route nous nous sommes arrêtés dans un marché Massai, premier goût de l'Afrique.




Ensuite nous avons regagné le campement érigé spécialement pour nous, au pied du Mont Longido.







Après le déjeuner, nous avons fait connaissance de nos guides Masaï, Sembeke et Saïtoti. Après avoir appris un peu sur la culture Masaï et quelques mots dans leur langue, nous sommes partis à la rencontre des villageois du coin.

Yeyo takwenia : bonjour à une femme
Sopaï : bonjour à un homme
Anda sopaï : bonjour à plusieurs personnes
Maa vé : on y va
Olo séré : au revoir
Ashé na leung : merci beaucoup
Waïmé ashé : non merci
Hééé : oui
Leiboni : shaman



Saïtoti


Sembeke avec le Chef du Village

2 commentaires:

  1. Victor m'a appris pas mal de choses, notamment que les femmes Masaï offraient l'hospitalité, et que pour être tranquille, il suffisait de planter une lance devant l'entrée de la case. Cette tradition locale était d'importance à connaître pour ne pas être dérangé, et même pas besoin de fermer la porte !

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  2. Elle est une immense pelote de laine noire,
    Ni ronde, ni ovale, entre pommes et poires.
    J’en cherche encore, persévérant, le début,
    Le bout, caché, à tirer pour atteindre le but,
    De dérouler le fil d’Ariane de cette Afrique
    Aux cases faites de branchages sans briques.
    Nul doute que dénouée cette pelote d’ébène,
    Me conduirait à partir loin, à saisir l’aubaine,
    Pour arpenter nombre de pistes, bien au delà,
    Et tenter de comprendre au terme de débats,
    Quel serait le plus sage des points de départ,
    D’une Afrique réfutant les abus et les écarts.

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